Et c'est reparti ! Après un hiver globalement orienté autour du splitboard entre deux confinements, on profite de la levée des 10 km de restriction pour partir au soleil. Bon, ça, c'était le plan... Mais bon, le mois de mai aura quand même été synonyme de retrouvailles et de bols d'air !
1er week-end : Ile de Ré, La Rochelle et marais Poitevin
On part retrouver la sista pour un petit weekend pour un petit week-end au bord de l'océan entre Charente-Maritime et Vendée. Au programme : balade à vélo (obligatoire) sur l'ile de Ré, canoë et rando dans le parc national du marais Poitevin !
Tiens ! Du sable ! Ca faisait longtemps !
Je suis pas expert, mais je crois que ca fonctionne mieux quand c'est dans l'eau...
Un nénuphar
2e week-end : Grenoble, Belledonne et Chartreuse
Après un bref passage à Paris pour changer de slip, je décide de rejoindre la région de Grenoble pour le WE de l'Ascension. De la rando, de la rando, de la rando. Ah ! Et de la pluie et de la neige aussi...
Le 1er jour, on fait le tour du Monastère de la Grande Chartreuse. C'est un monastère avec une trentaine de moines qui ne parlent pas et qui font de la tise. Tout ça dans un cadre sublime. La Fast Life.
Le monastere de la Grande Chartreuse
Les 2 jours suivants seront principalement pluvieux, donc des petites sorties entre les gouttes (un peu raté) dans la vallée de l'Isère et autour de la dent de Crolles (Chartreuse).
Qu'est ce que tu regardes ?! Wesh !
Direction Grenoble pour passer la fin du week-end avec mon poto TK. Et petite visite du fort de la Bastille.
3e week-end : Les Calanques.
Après une semaine a Lyon, la réouverture des terrasses, un ciné (allez voir Adieu les cons, c'est chanmé), je prends la direction des Calanques. Pourquoi ? Et bien tout simplement parce que j'ai regardé la météo de toute la France pour tout le week-end de la pentecôte, et qu'il y avait qu'un seul endroit sans pluie, c'était là ! Alors direction Marseille, puis Carry-le-Rouet pour une petite rando de 3 jours jusqu'à la Ciotat.
Au menu : des vues magnifiques, du train, des ampoules au pied et une grosse frayeur dans un passage un peu dangereux
La 1ère journée, on rejoint le nord de Marseille depuis Carry-le-Rouet donc. Ces calanques sont un peu plus sauvages avec un train qui passe au-dessus de petits ports. C'est calme, joli, et le bruit et l'odeur de la mer fait beaucoup de bien.
Port de Méjean
Je dessine bien, n'est ce pas?
Ile de l'Erevine
Ile de l'Erevine
Port de la Madrague de Ginac
Pour la deuxième journée, je saute non pas la capitale, mais Marseille bébé comme dirait 13 organisé. Beouveyre, Marseilleveyre, calanques de Sormiou et Morgiou, Grande Candelle (c'est là qu'il ne faut pas aller sans matériel, c'est en fait un site de grande voie d'escalade. Faites ce que je dis, pas ce que je fais), col du Devenson, calanque d'En-Vaux et enfin Cassis. Cassis, c'est super mignon. Repos bien mérité après cette grosse journée : burger et glace sur la plage. C'est ça qu'on devrait avoir en tant que définition du bonheur, n'est-ce pas ?
Si vous voyez cette plaque, faites demi-tour
Marseille, 13000
La Grande Candelle
Calanque de Sormiou
La dernière journée longe encore et toujours des calanques pour rejoindre la Ciotat, mon terminus. Plus de monde de ce côté, car plus accessible par la route (bande de flemmards), cette partie des calanques est néanmoins très fleurie avec des falaises bien a pic au-dessus de la mer, le paradis pour les grimpeurs (oui, je suis jaloux).
Des fleurs
Ca grimpe !
Gare de la Ciotat
C'est tout pour l'instant. On rentre se reposer, on va profiter des terrasses fraichement ouvertes à Paname et soutenir les cinémas et les salles d'escalade.